Silence
Sur le chemin de la guérison, et cette peur infernable et angoissante d'aller mieux. De perdre ce qui faisait ce que "j'étais". Il parait que c'est ce que j'avais construit, un système de défense mais pas vraiment moi. Alors j'essaie d'y croire et je continue le travail.
Travailler sur soi. Soigner d'abord l'urgent, le quotidien qui nous bouffe. Et puis s'attaquer au bas de l'iceberg, à l'invisible que l'on a enfoui bien loin et qui refoule pourtant à la surface. Qui pue. Qui dérange. Et malgré tout il faut gratter la merde au fond, la soulever et la jeter par dessus bord.
Et ça fait mal.
Juste mal entre un rire et un frisson de joie. L'amour donne des ailes paraît-il alors j'essai de m'envoler.
Mais je n'oublie personne même si je ne suis plus souvent là :=)
Travailler sur soi. Soigner d'abord l'urgent, le quotidien qui nous bouffe. Et puis s'attaquer au bas de l'iceberg, à l'invisible que l'on a enfoui bien loin et qui refoule pourtant à la surface. Qui pue. Qui dérange. Et malgré tout il faut gratter la merde au fond, la soulever et la jeter par dessus bord.
Et ça fait mal.
Juste mal entre un rire et un frisson de joie. L'amour donne des ailes paraît-il alors j'essai de m'envoler.
Mais je n'oublie personne même si je ne suis plus souvent là :=)